Les Rosach ne sont, en réalité, pas morts. Mais sont passé à ça de totalement disparaître. Lors d’un combat particulièrement difficile avec un mage à l’apparence immonde (décrit, dans les récits, comme mi-ours mi-homme), des membres Rosach sont infectés. Une fois chez eux, ils moururent dans d’atroces souffrances, aucune médecine n’arrivant à les soulager. Ils revinrent à la vie peu après leur trépas et tentèrent de tuer leurs proches. La nouvelle se répand et les Rosach sont découverts. Ils camouflent leur fuite par des corps et une épidémie opportune de lèpre dans la ville voisine.

Ils partent et arrivent à Dunwich où ils se refont un nom grâce aux sympathisants à leur cause, en Europe. Ils construisent un manoir immense en haut d’une colin, près de la mer et entreprennent surtout de lier les grands dédales de sous-sols de la demeure avec les souterrains déjà présents sous la ville. Ils recrutent ainsi, petit à petit, des gens pour repeupler leur armée de Templiers. Ils choisissent des gens ayant été touchés par le surnaturel et qui en gardent un souvenir amer (ils ont ou bien perdus des proches, où ont été traumatisés).

Ils subissent ensuite des entraînements contre les sortilèges et les manipulations psychiques à force de séances inspirées par les douloureux exercices de l’armée. Les membres de la famille sont souvent plus éduqués qu’entraîner et sont familiarisés avec les arts de la manipulation. Les templiers apprennent à se battre avec des lames en argent qui sont les seules fiables, les balles étant apparemment inoffensives contre certaines entités.

Il ne faut surtout pas oublier que les Rosecroix sont des gens très religieux. Ils sont en liaison étroite mais discrète avec le Vatican auquel ils communiquent souvent leurs résultats, la religion catholique étant très attentive au sujet des phénomènes paranormaux.